Au lieu de simplement exister, choisissez de vivre
Il est normal de pleurer. Il est normal de laisser votre douleur tremper votre oreiller la nuit avec des larmes inestimables. Il est normal de se réveiller le lendemain en sentant le poids de la vie sur vos épaules, car sortir du lit peut sembler une tâche insurmontable. Il est normal de sentir votre cicatrice cardiaque si profondément que vous pensez qu’elle ne pourra jamais se remettre. La vie est pleine de ces moments où votre douleur peut vous noyer dans une obscurité telle que la lumière peut sembler être un souvenir inconnu. Il est également plein d’autres moments où vous vous sentez vraiment heureux, reconnaissant et aimé.
L’idée est de ressentir chaque instant qui vous passe avec ses hauts et ses bas et pour plonger votre âme dans votre voyage à travers la vie. Je prie pour que vous tiriez le meilleur parti de ces moments où votre cœur scintille d’amour et que vous en sortiez plus forts lorsque ceux-ci se rétrécissent de douleur. L’idée est d’éviter de laisser la douleur vous noyer avec l’apathie, car c’est le moment où votre vie devient juste un acte d’existence, car l’apathie neutralise votre désir de ressentir. J’ai du mal à imaginer que c’est le genre de vie auquel vous aspirez.
Votre vie doit être un acte de vie, et lorsque vous vivez, vous ressentez, ressentez et manifestez un large éventail d’émotions. Vous en venez à apprécier vos sentiments envers les gens de votre vie, les choses qui vous touchent et toutes les bénédictions qui vous ont été accordées. Vous développez un intérêt ou une passion pour ce qui apporte de la joie à votre cœur, car en vous laissant ressentir, vous apprenez sur vous-même, votre cœur et votre âme. Vous apprenez ce que vous devez faire pour polir ces moments où votre cœur rayonne de joie. Vous apprenez également à réfléchir, à grandir et à prévaloir à partir de ces moments où vous prenez du chagrin avec vous au lit.
En vous laissant ressentir votre vie, vous appréciez la présence de personnes en elle. Vous appréciez d’être entouré d’humains de caractères et de complexités différents, où chacun ajoute une certaine saveur à votre vie ou une dimension dont vous êtes reconnaissant. Vous appréciez votre grand-mère, qui depuis plus de 80 ans est une manifestation de la façon dont on montre l’amour en donnant sans attendre quoi que ce soit en retour. Vous appréciez votre mère veuve, qui incarne la force et le sacrifice, avec une incroyable capacité à aimer et à chérir sa progéniture tout en naviguant à travers les épreuves de la vie avec une admirable résilience. Vous appréciez vos cousins, qui ont été plus que des frères et sœurs pour vous, vous faisant ainsi sentir que vous n’avez jamais vraiment été un enfant unique. Vous appréciez votre tante et votre oncle, qui vous rappellent constamment la chance que vous avez d’avoir un autre groupe de parents. Vous appréciez vos amis, qui vous apprennent toujours que le concept de famille ne se limite pas aux relations de sang. Peut-être que je parle juste des gens dans ma vie, mais vous comprenez mon point.
Exister, c’est respirer, mais vivre est bien plus que cela. C’est littéralement sentiment chaque instant qui vous passe.