Pourquoi écouter votre intestin est un pas puissant vers l’auto-évolution
La seule différence entre le changement et l’évolution est notre conscience de l’importance de notre propre attention consciente.
Je ne parle pas de l’usage scientifique darwinien où nous changeons par sélection naturelle, je parle de quelque chose de plus spécifique à nous, à notre mariage entre le choix et le hasard.
Au cours de la dernière année où je suis resté coincé à l’intérieur et me vautrer dans l’apitoiement sur moi-même et l’ennui, je suis devenu plus spirituel et plus conscient, et c’est la plus grande chose que j’ai tirée de cette expérience.
Nous sommes plus puissants que ce que nous nous accordons.
Vous êtes plus puissant que vous ne le pensez.
La façon dont nous exploitons ce pouvoir et évoluons quotidiennement est en prêtant consciemment attention aux petits changements qui se produisent régulièrement. En voyant leur beauté et en trouvant des moyens d’intégrer tout ce que nos énergies appellent à notre existence émouvante.
C’est la clé de ce que j’appelle l’évolution.
Il s’agit de comprendre que chaque jour, nous vieillissons.
Que chaque jour, nous pourrions devenir plus forts.
Que chaque jour, nous apprenons de nouvelles connaissances.
Que chaque jour, quelque chose en nous change parce qu’hier n’existe plus et qu’aujourd’hui est la seule chose qui change.
En prenant un peu de temps – que ce soit une heure ou une journée entière – pour comprendre ce que nos esprits, nos corps et nos âmes changeants demandent, nous nous disons que nous en sommes dignes.
Non seulement nous nous connectons aux forces supérieures autour de nous, nous nous connectons aux forces supérieures en nous, et cette liaison de deux sources puissantes nous donne un sentiment dans notre intestin. Cela nous donne une sorte de vibration à écouter, non à déconstruire ou à attaquer avec logique, mais à écouter et à suivre avec prudence.
L’évolution a l’intention d’écouter avec confiance et foi (non pas au sens religieux mais au sens de croire au timing divin). Il s’agit de bouger avec la vie, pas contre elle. Comme le feu d’une bougie, il nous donne la lumière, et nous la gardons allumée en reconnaissant qu’elle est là. Et ce feu brûlera, et ce n’est pas grave. Mais à chaque moment de notre vie, on ne nous donne pas nécessairement un signe, mais un changement dans nos énergies qui nous donne un indice que quelque chose est en train de changer. Notre tâche est de nous connecter à cette fréquence et de simplement la reconnaître. Pas d’action énorme. Aucune considération profonde, juste l’acceptation de son existence et le sentiment que vous pouvez la suivre si vous le souhaitez.
Pensez-y de cette façon, certains des principaux sujets qui sont en corrélation avec le sentiment d’un «instinct instinctif» sont l’amour, la douleur et le but. Alors explorons chacun:
Amour est compliquée par notre malentendu. L’amour est souvent mêlé de problèmes de communication et de confusion. L’amour est aussi le contraire – il est beau, explorateur et symphonique. La façon dont nous évoluons en matière d’amour, c’est de puiser dans chaque sentiment, chaque instinct et de le reconnaître. Ce ne sont pas nécessairement des angoisses, mais un signal énergétique tangible qui doit être écouté ou activement ignoré. Le plus souvent, cela nous dit quelque chose dont nous ne sommes pas encore conscients, et en prenant directement conscience de ce signal, nous apprenons à affronter les choses plus tôt plutôt que de les regarder construire dans l’ignorance.
Cela conduit à un amour qui parle à l’âme parce qu’elle est en conversation avec elle. Cela conduit à une acceptation du moment présent infini, de sorte que s’il aboutit à notre expérience collective et mutuelle, il vit toujours dans nos esprits, dans nos corps, dans nos esprits. Quand quelque chose vit, il n’y a rien à pleurer et nos vies peuvent avancer plus vite.
Douleur est si souvent diabolisé comme irrationnel parce que depuis si longtemps on nous a dit de l’enterrer profondément. Mais la douleur est un autre signal – ce sont nos corps, nos énergies, qui essaient de nous sauver de nouvelles blessures. Si nous écoutons la première essence de la douleur, le premier indice de sa piqûre, et nous nous accordons à la source de la douleur et validons son existence, nous nous armons.
Cela conduit à une arme d’auto-priorisation, où nous remarquons des changements dans notre être vers un état douloureux causé par quelque chose ou quelqu’un d’autre et y faisons face. Si quelqu’un nous fait du mal, nous leur disons. Nous communiquons, et s’ils nous rejettent avec condescendance, nous retirons notre énergie plus loin de la leur pour qu’elle ne se vide pas. Nous apprenons à comprendre quand quelque chose n’est pas sain pour nous parce que notre instinct nous dit que quelque chose ne va pas. Nous enquêtons sur cette source et, ce faisant, trouvons les angoisses responsables ou la validation pour confirmer qu’il est temps de s’en éloigner.
Objectif est vaste et en constante évolution. Il est multiforme et vaste et c’est sans doute la seule chose dont nos tripes nous parlent le plus. Nous nous inquiétons si souvent que nous n’avons aucun but, que nous ne connaissons pas notre but. Mais souvent, nous disons cela uniquement parce que nous nous comparons à la hiérarchie qui existe dans une société déficiente de génération en génération. Notre objectif ne doit pas être une chose ou générer une énorme richesse ou même une stabilité. Notre objectif ne doit même pas être dans le monde extérieur. Notre but réside à l’intérieur de nous, et il est donc logique de ne pas écouter les facteurs extérieurs à notre corps mais de s’accorder à ceux qu’il contient.
Cela conduit à un lien fluide entre le cerveau et le corps et l’esprit et l’intestin. Cela nous apprend à nous donner simplement le temps d’être. Comprendre qu’aucun humain ne peut arriver à son véritable but en courant sur quelque chose qu’on lui a dit était son but sans se demander d’abord si c’était vrai. Cela nous apprend à avoir une confiance en soi, à développer une harmonisation avec les messages derrière nos instincts. Cela nous apprend à nous faire confiance.
La façon dont vous atteignez cette conscience consciente dépend de vous. Cela n’a pas à être de la méditation, ni des cristaux ni des bougies, même si j’aime bien moi-même. C’est simplement prendre le temps d’écouter, sans distraction, sans peur, sans filtre, sans honte et pour reconnaître ce que vous entendez.